Phares, ah ouais!

je fais souvent ce rêve étrange en pénétrant cette femme bien connue (c-à-d. ayant bon con) et que j'aime, et qui m'aime (là n'est pas la question). je m'y vois technicien de surface à griller dans un de ces sun-trucs-de-la-mort-du-sein recommandé par cette-amie-qui-vous-veut-du-bien-mais-seulement-avant-l'été-de-tous-les-tétés-bronzés. cette femme est une cliente à peine acidulée comme la plupart le sont, mais assidue, l'est comme la plupart tout de même. elle arrive, se déssape, jusque là normal, tout va bien "uv-b? uv-a? voilà, voilà". alles OK, tout ça, tout ça. je l'installe, branche le gril plein phares et m'en vais finir mes mots croisés sur le banc du couloir à proximité du four à micro-ondes (oui je sais, patronne, on dit la cabine, mais là je suis sur mon blog, alors je t'emmerde!). et puis toc, ou plutôt bililibililip, on me sonne. donc, elle.
"ouiche, ouiche, c'est pourquoi Mme Cethfam? on n'a pas encore fini la séquence, 'savez? l'autre tranche, c'est dans huit minutes encore, mh?" lui prodigué-je.
et là, qu'est-ce que cette femme étrange me rétorqu'elle-t-il?
"massez-moi les pieds, Massimo. j'ai mal au dos".
j'ai beau lui expliquer que pour le mal de dos je connet, pardon, je connais un truc 'achtement plus chaudelaballe et que Massimo, c'est pas moi, c'est l'autre, mais que moi pour le dos j'ai tout c'qu'il faut, que non. les pieds. alors, je m'exécute. pan, une balle dans la tête.
et je me réveille en fin de coït avec le bout du zizi qui coule.
c'est grave docteur?

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